Dans le numéro de mai 2017 de l'Ami des Jardins, page 68, à propos des plantes de bassin on peut lire cet avertissement:
C'est la même histoire avec ces campagnes visant à diminuer la consommation d’antibiotiques. Ce n'est quand même pas le patient qui rédige les prescriptions d'antibiotiques, c'est bien le médecin. Ce n'est pas le patient qu'il faut culpabiliser, c'est le corps médical qu'il faut sensibiliser.
C'était le "coup de gueule du jour" de papi Jo.
Comment le jardinier pourrait-il acheter une plante dont la commercialisation est interdite ? Ce n'est- pas le consommateur qu'il faut culpabiliser, mais le vendeur qu'il faut contrôler !Cherchez l'erreur...
- Yo71
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Re: Cherchez l'erreur...
Ben - sur Internet, par exemple !papijo a écrit :Comment le jardinier pourrait-il acheter une plante dont la commercialisation est interdite ?
Quant au jardinier qui donne, c'est (heureusement) hyper courant : encore faut-il savoir lesquelles ne pas donner...
Quant aux campagnes concernant les antibiotiques, même si on s'éloigne des plantes, on connaît tous des gens qui 1) utilisent ce qui reste d'antibiotique prescrit à un autre, 2) ont un mal fou à comprendre que leur médecin ne leur prescrive pas d'antobiotique. Autant déminer la situation.
"Sans curiosité on meurt et sans courage on ne vit pas" (Hugo Pratt, dans "Jesuit Joe")