A l'automne j'ai planté des anémones du Japon à différents endroits parce que je trouve ça bien beau. Ma voisine m'a prévenue que ça pouvait facilement envahir donc j'ai eu la main légère. Pour l'instant, il n'y a que la moitié des plants qui ont repris. Donc pour l'instant c'est l'inverse de chez toi !
Je pense qu'il y a plusieurs choses qui expliquent les différences de résultat (en positif ou négatif) d'un jardin à l'autre.
Déjà il y a l'environnement de base (le sol, l'ensoleillement, etc), mais aussi les techniques de jardinage. Je me demande si par exemple la densité de plantation n'est pas un moyen de maitriser ces cavaleuses ? Ici j'ai envie de mettre des pervenches à certains endroits, en me disant que les racines d'arbres les maitriseront pour moi...
et puis aussi, et surtout je pense, ce qu'on est prêt à y mettre pour atteindre le résultat, ce qui nous parait acceptable. Quel temps passé à désherber, à tailler, etc ? sachant que ce qui peut être une corvée pour l'un L'année dernière j'arrachais tout le lierre que je voyais, maintenant je me dis qu'il fait un couvre-sol bien pratique, et qu'à certains endroits si il revient, je le laisserais probablement faire.
pareil pour le compost ou le fumier de cheval, personnellement je ne suis pas gênée par ce type d'odeurs, donc j'accepte les odeurs pour utiliser moins de terreau et essayer de recréer un cycle naturel dans mon jardin. Mais j'en connais qui ne voudront jamais avoir ça dans leur jardin.
Stéphane a des rubus, moi je n'en mettrais jamais car j'ai trop peur qu'elles imitent leurs cousines sauvages
Bref, je n'ai pas vraiment la réponse à ta question, moi j'en suis au stade où j'essaye en espérant ne pas m'en mordre les doigts plus tard !
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