Arrosoirs & sécateurs

Chronique d’un jardin de Bretagne-Sud en janvier 2022

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Samedi 1er

Dimanche 2

2022… C’est le début de la 15ème année de cette chronique ! L’ennui est que pendant tout ce temps j’ai, moi aussi, pris 15 ans. Et en ce moment je m’en rends compte ! Non, ce n’est pas drôle, y’a pas de quoi ricaner !
C’est donc mollement que j’ai repris le chemin du jardin mais aujourd’hui mon emploi du temps ne me permettait pas de beaucoup jardiner. Peut-être était-ce mieux.
Le broyage du lierre est terminé à la tondeuse, ce qui a pris 2 minutes. Je devrais me servir plus souvent de la tondeuse au lieu du broyeur pour les plantes « molles ». Ensuite je suis allé du côté du compost. J’ai retourné le dessus du 2ème bac dans le premier qui a été vidé il y a quelques jours. Il reste à répandre le fond du bac, ce qui va me prendre un bon moment car il doit y avoir 5 ou 6 brouettes de compost à vider.
Petit calcul de mathématiques : Sachant que
- lorsque je vide le compost dans les plates-bandes, je répands environ 10 belles brouettes
- je vide le compost 3 fois par an
- je fais du compost depuis 1978 (on dira globalement 40 ans)
Combien de brouettes de compost ai-je répandu durant toute cette période ?
Pas évident, je sais, mais vous me rendrez vos copies avant la fin de la semaine (je sais, ça fait court mais concentrez-vous).
Ouf, j’ai pris un coup de jeune en revenant dans ma vie antérieure !

Lundi 3

De la pluie… de la pluie... et encore de la pluie.
Impossible de mettre le nez (et le reste) dehors. J’ai bien essayé mais à chaque fois demi-tour vite fait.

Mardi 4

3 brouettes de compost répandues dans les plates-bandes.
Je me disais qu’assis ou à genoux sur le trottoir à arracher du lierre, je ne devrais pas trop en baver. C’est un peu vrai mais après je déguste ! En fait il faut marcher. Vous avez déjà essayé de jardiner en marchant avec une canne ? Par solidarité ce serait sympa.
Le lierre est broyé avec la tondeuse. J’ai fait en moins de 5 minutes ce qui aurait demandé plus d’une 1/2 heure au broyeur.

Jeudi 6

Deux brouettes de plus…
Il était vraiment temps d’agir : j’ai changé la paille à l’intérieur du poulailler. J’attends d’en avoir à nouveau pour en remettre dans la courette. Pour l’instant les feuilles mortes permettent d’attendre. En nettoyant le poulailler, j’ai remarqué la nécessité de mettre un peu de béton à un endroit. Il y a toujours quelque chose à y faire mais il faut dire qu’il a environ 20 ans… et fait avec des planches de palettes.
C’est décidé… j’ai commencé à couper les feuilles d’hellébore orientalis. Toute les feuilles, les grandes, les petites, les belles, les moches. Mais c’est loin d’être terminé car il y en a partout. Heureuse découverte : les fleurs arrivent car de nombreux boutons apparaissent. Serait-on en route vers le printemps ?

Vendredi 7

Opération hellébore (suite). Après avoir coupé les feuilles, j’en profite pour passer un coup de griffe dans les plates-bandes qui sont recouvertes de feuilles mortes.
Dans l’après-midi, je repartais peu courageux et d’un pas qui devait faire peine à voir quand le vent s’est mis à souffler et la pluie à tomber. Miracle… Retour au chaud à la maison !

Samedi 8

Aujourd’hui c’est la totale ! Un temps pourri. Que dis-je ? Y aurait-il dans la langue française un mot qui signifierait « plus que pourri » ? De la pluie et du vent du matin jusqu’au soir. Je suis allé au magasin de bricolage (en voiture !) mais j’ai réussi à rentrer trempé de la tête aux pieds, sans compter que dans la descente du garage j’ai trouvé le moyen de glisser sur la pelouse pour me retrouver sur le dos. Coup de chance : la tête a cogné sur la pelouse mais à quelques centimètres c’était sur les pavés. Vive 2022 ! Ca commence fort…
Donc changement de programme… J’ai décidé de refaire le banc qui se trouve dans le petit jardin devant la maison.

Il a été complètement démonté. Ce soir, les parties métalliques sont en partie repeintes en noir comme pour les fauteuils et 6 planches sont peintes en bleu… toujours le même bleu. Je crains fort demain d’avoir à nouveau des problèmes pour retourner du côté des hellébores. Je continuerai donc le travail sur le banc.

Dimanche 9

Peinture du banc (suite).
Retour au jardin sous un fin crachin pas particulièrement agréable. Mais depuis un moment je n’ai pas eu ma dose et si je ne vais pas jardiner un peu, je vais « péter un câble ». Je me suis exclusivement occupé des hellébores dont j’ai coupé le feuillage. C’est assez long à faire et je pense n’en avoir fait que la moitié. Entre parenthèses, je peux donner des petits plants… mais vous venez les chercher !!!
Aujourd’hui j’ai retrouvé une seconde jeunesse (n’exagérons pas trop quand même car je ne suis pas redevenu l’ado boutonneux). Oui, je ne sentais plus ma hanche et je marchais pratiquement normalement. Je gambadais entre les plants d’hellébore. S’il vous plaît, évitez de faire la réflexion à laquelle on a tous droit dans ces cas là « Ã§a c’est le changement de temps ! ». Parce que pour le changement de temps, on repassera !
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Lundi 10

Le banc est repeint. Il ne reste plus qu’à le remonter.
Le 2ème trou du compost est pratiquement vide (j’ai encore sorti 3 brouettes).
Je pensais terminer de couper les feuilles d’hellébores mais il reste la plate-bande au fond du jardin. J’ai été pris de vitesse car la nuit est tombée (j’ai réalisé que je pouvais jardiner jusqu’à 17 h 45. C’est bon signe).
En supprimant les feuilles d’hellébores dans tout le jardin, cela permet de voir d’un peu plus près ce qui se passe dans chaque plate-bande. Et parfois on peut avoir de bonnes surprises… comme de mauvaises. Je me suis aperçu que le plant de Daphné odora ‘Aureomarginata’ est en train de mourir. Les feuilles jaunissent et se recroquevillent. C’est fichu. C’est le dernier plant que je mets car c’est un arbuste qui meurt au bout de quelques années. On a dû en avoir 6 ou 7 (en général par bouturage). Ils meurent les uns après les autres. Terminé !

Mardi 11

Le banc est pratiquement remonté.
Le compost est enfin vidé.
Toutes les feuilles des hellébores sont coupées (sauf celles que je n’ai pas vues) et broyées à la tondeuse.
Le long de la descente du garage, un tout petit carré a été réaménagé. J’ai réalisé qu’un plant d’hellébore manquait à cet endroit. Il suffisait de chercher un plant fleuri assez mal placé. Je n’ai pas eu de mal à trouver.

Mercredi 12

Nettoyage de la petite courette de la poule. Le reste de fumier et les feuilles mortes sont enlevés. Ce sympathique mélange qui vaut de l’or va rejoindre le compost. De la paille toute fraîche est étendue dans la courette.
Le remontage du banc n’est pas complètement terminé. Ce n’est pas faute d’y avoir passé du temps mais, comme d’habitude, je me prends la tête avec les dernières bricoles (problème de perçage de pièces métalliques).

Jeudi 13

Le banc est remis en place. Il reste un banc à refaire entièrement mais il est plus simple.


Pour l’instant, il faut que je reprenne le chemin du jardin. Au programme dans les semaines à venir :
- nettoyage de toutes les plates-bandes (en particulier, griffage pour aérer le sol et dégager certaines vivaces peut-être recouvertes de feuilles mortes),
- suppression de certains plants de vivaces ou arbustes (exemple Daphné),
- plantation ou déplacement de certains végétaux
- nettoyage des graminées
- taille éventuelle de certains arbustes
Aujourd’hui, j’ai commencé le nettoyage de la plate-bande à l’arrière de la maison.
De jour en jour, la floraison des hellébores explose. Chouette !

Vendredi 14

Il fallait être un peu fêlé aujourd’hui pour aller jardiner. Et comme suis un peu fêlé… je suis allé jardiner ! Pas beaucoup (2 h environ) car j’avais d’autres priorités. Je n’aurais pas tenu beaucoup plus longtemps car il faisait particulièrement froid. Un froid humide et pénétrant. Pour un peu je me serais facilement identifié à un pingouin sur sa banquise (j’adore les pingouins !). Je ne veux pas prendre de risques et c’est pourquoi le Fuchsia ‘Brigitte Engerer’, acheté à la fête des plantes de Pommorio en octobre dernier, est rentré dans la serre. C’est un Fuchsia arbustif assez rustique qui supporterait jusqu’à -10°C mais pour son premier hiver autant le bichonner. On verra sa plantation en fin d’hiver.
Il y a deux jours j’avais repéré un Acer dans un gros pot qui baignait dans l’eau. C’est un superbe Acer pour lequel nous avons un faible (son feuillage, sa couleur et sa forme de parasol). Pas question de le perdre. Avec un fer à béton et un marteau, je pense avoir éclaté le fond du pot (trop volumineux pour être porté) si bien que l’eau semble avoir été évacuée.
Nettoyage d’un petit coin de plate-bande (erreur : il fallait écrire très petit). Pour les raisons que vous connaissez, je n’avance pas aussi vite que du temps de ma jeunesse, mais j’avance doucement. Pèpère...

Samedi 15

Il aura fallu que je me botte les fesses (pas évident quand on a une hanche en vrac) pour aller dehors. Mais une fois dans le jardin, pris par le nettoyage, l’après-midi s’est bien passée. La plate-bande commencée hier est terminée. Récupération d’un plant d’Euphorbe characias caché au fond de la plate-bande derrière des arbustes. Il a été planté sur le trottoir près du grand portail d’entrée (rappelez-vous, j’ai supprimé les 2 characias près de l’entrée).

Dimanche 16

Seulement 2 h dans le jardin aujourd’hui (en ce moment je joue un peu la « feignasse »). Je me consacre principalement au nettoyage sous la grande arche. Pas mécontent...
Et les oiseaux s’empiffrent de graines de tournesol. La mangeoire (fabrication maison il y a bien 20 ans) est à maximum 3 m de la fenêtre de la cuisine. Donc on peut observer le ballet des moineaux et des mésanges principalement.


Un moineau dans le Camellia ’Cinnamon Cindy’ tout près de la mangeoire.

Lundi 17

Un peu de peinture des huisseries de la maison. Il faut que je m’y remette car il reste une bonne quantité de peinture dans le pot et pour qu’elle ne sèche pas il faut que je l’utilise au plus vite.
L’après-midi, retour dans le jardin pour faire un peu de nettoyage.

Mardi 18

Il y a des jours où je me dis que ce doit être sympa d’être fan de tricot, de mots croisés ou de sudoku mais pas de jardinage.
Aujourd’hui était d’une tristesse à démoraliser une armée de fêtards. Pas particulièrement froid mais d’une humidité ambiante… T’as pas mis un pied dehors que t’as envie de rentrer…
Mais le gars est courageux et donc peinture d’un volet (suite) et nettoyage d’une petite plate-bande. J’y vais doucement mais en ce moment ce n’est pas la course de vitesse comme à la belle saison.
Petit feu de cheminée pour la soirée... le bonheur !

Des goinfres...

Mercredi 19

Peinture le matin.
Quant à l’après-midi, avec le temps qu’il fait (léger crachin) je sors dans le jardin à reculons. Et avec une hanche déglinguée c’est pas évident. Pour être honnête, j’ai dû y être une bonne 1/2 heure, pas plus.
Il y a des plantes qui ne m’aiment pas : l’astrance, l’echinacea, l’astilbe etc. J’ai beau connaître par coeur leurs exigences de culture, faire 50 fois le tour du jardin pour trouver la bonne place, rien à faire, c’est l’échec assuré. Il en est de même pour un arbuste que j’aime beaucoup : la Griselinia littoralis. Il y en au moins 3 qui sont passés de vie trépas sans explication. Il y en avait 2 dans le jardin et depuis cet été il n’y en a plus qu’un car un est mort brutalement. Pourquoi ? Je ne sais pas car ce n’est pas la sécheresse. L’autre se porte bien… pour l’instant. Aujourd’hui je me suis décidé à l’enlever et je comptais y mettre à la place un Toona qui m’a été donné par une amie-jardinière lors d’une sortie « visites de jardins ». Après avoir enlevé la Griselinia, je suis parti chercher d’un pas (presque) alerte le Toona qui est toujours dans son pot. Impossible de le retrouver. Je l’ai posé quelque part… mais où ? Au bout d’un bon moment j’ai abandonné. Il sera planté quand je l’aurai retrouvé. Après la hanche, c’est la tête. Quelle décadence !
Près de la Griselinia il y avait un beau plant d’hellébore en fleurs complètement caché par des arbustes. Le plant est enlevé et mis dans le petit coin de plate-bande dans la descente du garage.
Bilan : je n’ai vraiment pas fait grand-chose. Consternant.

Vendredi 21

Un peu de nettoyage du côté des buis près de la plate-bande recouverte de Limnanthes douglasii ‘Meringue’. J’aime beaucoup cette annuelle (elle est blanche et non jaune) mais elle a tendance à se ressemer partout. J’ai donc passé une bonne heure à supprimer les petits plants qui poussent entre les pavés dans l’allée qui borde la plate-bande.

Samedi 22

Encore un peu de nettoyage. Ces temps-ci, je ne suis pas très vigoureux question jardinage. Est-ce à cause du froid ? Il y a une ambiance humidité plus fraîcheur un peu tristounette pas très motivante. Est-ce un coup de mou ? Bof, heureusement, le jardin ne demande pas de travail urgent… donc j’y vais doucement. « Qui veut aller loin, ménage sa monture ».

Dimanche 23

Peinture le matin.
Pas trop courageux… Le fond de l’air n’est pas très chaud et je dois encore me forcer pour aller jardiner.
Plantation de 6 Violas cornuta blanches.
Petit coup de gueule (ça fait du bien parfois) : dans la grande jardinerie où l’on a acheté les Violas, il y avait à la vente une collection impressionnante de plantes vivaces en fleurs. Une floraison superbe digne d’un mois d’avril ou mai. Après vérification, il semblerait que l’on soit encore en janvier. Petite question : quand va-t-on cesser de prendre les jardiniers pour des crétins prêts à acheter n’importe quoi à n’importe quel moment ?
Je retourne arracher un peu de lierre sur le mur de clôture (au moins pour une raison : à cet endroit il fait un peu moins froid !). J’en profite pour couper les touffes pas très esthétiques de valériane. Il va falloir bientôt nettoyer le trottoir. Quelle barbe.

Lundi 24

Peinture… (très peu)
Les oiseaux se goinfrent de graines de tournesol . Ce sont des moineaux à 90 %. Ils sont complètement « frapadingues » et virent les graines de la mangeoire. J’aimerais bien revoir plus de mésanges. J’ai donc installé des noix de coco et des branches percées de trous que je remplis de margarine. Cela devrait attirer les mésanges. Elles sont plus acrobates et ce sont elles qui se servent en priorité, plus que les moineaux plutôt lourdingues.

Je retourne sur le trottoir pour nettoyer et couper les valérianes (suite du travail d’hier).

Mardi 25

On ne peut pas en même temps jardiner et bricoler…
Je n’ai donc pu jardiner qu’une toute petite heure : retour sur le trottoir et du côté du lierre.

Mercredi 26

Bricolage… mais je ne peux pas m’empêcher de m’échapper dehors malgré le temps plus que frais (c’est fou, pour un peu on se croirait en hiver !). Donc retour sur le trottoir.
Quelques hellébores en fleurs :



Vendredi 28

Je continue à bricoler les volets en bois (au bout de 45 ans ils sont un peu fatigués). En plus deux couches peinture et le tour est joué.
1ère tonte du gazon. Non pas que l’herbe soit trop haute mais sa hauteur est très irrégulière. Au printemps il y aura intérêt à sérieusement la bichonner.
Petite séance de nettoyage de plus d’une heure sur le trottoir. A genoux avec ma petite binette… ça mérite une photo !
Les barrières en châtaignier sont en fin de vie. Il va falloir les refaire une nouvelle fois. Deux d’entre elles servent ce soir de bois de chauffage dans la cheminée.
Artémise est une poule soie toute blanche... par beau temps !

Samedi 29

Réparation volet et nettoyage du trottoir (suite).
A mon avis il faudrait impérativement expliquer à toute personne qui se lance dans le jardinage que les plantes poussent. Je ne blague pas car à moi, il y a plus de 40 ans, le pseudo-intellectuel que j’étais n’imaginait pas qu’un bouleau planté à 2 m de la maison pouvait un jour avoir des branches qui balaient les ardoises du toit et qu’un cerisier pouvait avoir une envergure de plus de 15 m. Et pourtant j’aurais dû le savoir car, quand j’étais gamin, j’ai dû « visiter » tous les cerisiers du village où j’habitais. Il est vrai que j’étais plus intéressé par un festin de cerises que par l’aspect du cerisier. Bref, tout ça pour vous dire que depuis quelques années une grosse branche du cerisier passe au dessus du Camellia ‘Cinnamon Cindy’ pour arriver presque à la fenêtre de la cuisine. Quant au bouleau, en plus de boucher la gouttière avec ses chatons ou ses feuilles, une belle branche a tendance à caresser un peu trop vigoureusement les ardoises du toit lorsqu’il y a une tempête.

Le cerisier au dessus du Camellia


Que fallait-il faire ? Depuis plusieurs années je me posais la question de savoir s’il était bien prudent de jouer les acrobates et vu mon état de décrépitude avancé, ayant du mal à mettre 2 pieds l’un devant l’autre, j’ai préféré y renoncer et ma femme, qui tient beaucoup à moi (si, si…) a trouvé un élagueur. Il est donc venu cet après-midi. Quand je l’ai vu sauter de branche en branche, j’ai compris que l’on avait certainement bien fait de faire appel à lui.

Je vous jure que ce n’est pas moi !


Il a même cisaillé, à ma demande, le haut de la clématite montana qui monte dans le cerisier. Je vais ensuite la tailler à 2 m maximum. Tant pis pour la floraison mais elle atteignait pratiquement le haut du bouleau et sa floraison devenait un peu décevante.

Merci Clément pour le travail réalisé (pas impossible qu’un jour il revienne) mais maintenant il va falloir évacuer tout le bois qui jonche la pelouse. Du bois pour le broyeur et la cheminée !

Dimanche 30



Une partie du bois est tronçonnée et les branches les plus fines sont mises de côté pour être broyées. Mais ça ne se fera pas en un seul jour !

Une énigme : depuis plusieurs jours, dans le poulailler, une bestiole qui vit en parfaite harmonie avec la poule vient manger le blé mais laisse des traces de son passage. Vous connaissez ? Je pense à un campagnol mais je n’en suis pas sûr du tout.


Suite en février 2022


Les travaux des années précédentes sont aussi instructifs que ceux de cette année.
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